Première intervention d'implants capillaires à Istanbul en Turquie: Avril 2016
Bilan pré- operatoire: La zone donneuse étant limitée ne permettant pas la couverture totale de la calvitie en une seule séance, fournis sur cotés le prélevement d'un nombre d'unité folliculaire très élevé lors de cette première séance risquait de ne pas respecter sa capacité ce qui aurait entrainé une demarcation importante, cheveux gris n'empêchant pas leur prélèvement.
Nombre de bulbe: transplantation de 3700 unités folliculaires
Méthode utilisée: FUE
Traitement: Souffrant d'une calvitie assez prononcée, implantation d'une nouvelle ligne frontale ainsi que les zones supérieures partiellement lors de cette greffe de cheveux.
Deuxième intervention d'implants capillaires à Istanbul en Turquie: Mai 2018
Bilan pré- operatoire: Au bout de 2 ans , la zone donneuse à bien cicatrisée qui a permis le prélevement pour une seconde séance de greffe de cheveux afin de compléter et améliorer le travail de la première séance.
Nombre de bulbe: transplantation de 2300 unités folliculaires
Traitement: Transplantation d'unité folliculaire sur le sommet (vertex)
- Journaliste: Monsieur Fofingue a choisi Clinique Greffe de Cheveux à Istanbul en Turquie pour son intervention d’implant capillaire en Avril 2016. Lors de cette première séance, une nouvelle ligne frontale a été réalisée ainsi qu’une implantation sur le dessus. Ayant obtenu un résultat satisfaisant, Monsieur Fofingue nous recontacte deux ans plus tard pour sa seconde séance de greffe de cheveux afin d’ajouter des implants sur le vertex et améliorer le résultat. Vous pouvez visualiser son témoignage expliquant son parcours
- Traductrice: Bonjour Monsieur Fofingue,
- M. Fofingue Bonjour
- Traductrice: Pouvez-vous vous présenter tout d’abord?
- M. Fofingue: Alors, je m’appelle Jean-Paul Fofingue, je viens de France, Paris. J’ai cinquante-quatre ans et j’ai subit une intervention il y a deux ans, de greffe de cheveux sur le dessus de la tête.
- Traductrice: Super ! Comment avez-vous découvert notre clinique greffe de cheveux Turquie?
- M. Fofingue: Alors, ça a été une longue recherche suite à un reportage sur la télévision française sur les implants de cheveux en Turquie. Les cliniques, j’ai cherché, beaucoup, beaucoup de cliniques et la seule qui a répondu à mes attentes, c’est cette clinique qui s’est intéressé aussi à mon traitement médical que les autres n’avaient pas encore ouvert le dossier ni vu que des médicaments pouvaient être contraint à l’intervention. Et puis il y a les interprète qui parle français, qui ; ça m’a beaucoup aidé quoi puisque je ne parle pas, ou trois mots d’Anglais scolaire, voilà, puisque venir à Istanbul, c’est compliqué pour un Français.
- Traductrice: D’accord. Alors, comment s’était déroulée votre première séance de greffe de cheveux en Turquie? Pouvez-vous nous en parler un peu?
- M. Fofingue: Impeccable. La seule chose qui était un peu désagréable au tout début, c’est les premières piqûres de l’anesthésie. Mais c’était supportable, la preuve c’est que, quand je suis endormi sur la table, au bout de deux heures sans rien sentir de ce qui se passait autour de moi. Et après, deux jours après, moi j’ai repris le travail, sachant que je suis commercial et j‘étais avec mes clients comme il se devait et tout le monde a été très, très surpris justement.
- Traductrice: Merci. Alors, voudriez-vous nous partager votre vécu après la première séance de greffe de cheveux effectuée chez notre clinique?
- M. Fofingue: Pour moi, c’est un soulagement. Ça a été ; comment on peut le dire ? C’était, ça m’a sauvé la vie parce que je ne supportais pas vraiment de me voir sans cheveux que la couronne, donc j’étais obligé de me raser les cheveux tous les jours, tous les jours pour ne plus avoir un seul cheveu. Et voilà, donc la Clinique a répondu à toutes mes attentes au début.
- Traductrice: Parfait. Alors, pouvez-vous nous raconter, Monsieur Fofingue, la période post-opératoire vécue après votre première séance de greffe de cheveux ?
- M. Fofingue: Ah, ça s’est très bien passé. Je suis rentré en France et j’ai fait le traitement que m’avait donné le médecin : les shampooings comme il fallait ; ne pas, les deux premiers jours, prendre de douche ni se laver la tête. Et après, il faut laisser le temps venir. J’ai laissé le temps venir, que les croûtes tombent pour que commencent les cheveux. Il y en a qui sont partis, on sait très bien que ça part. Et après, j’ai laissé pendant ; le temps faire. Alors, le premier mois, c’était que des petites croûtes qui ; ensuite, les premiers cheveux sont arrivés, très, très fins. C’est impressionnant, même pour moi qui n’avais plus de cheveux depuis l’âge de vingt ans. C’était impressionnant. Et de mois en mois, ça a été ; pour moi, le rêve qui s’est réalisé.
- Traductrice: Super ! Alors, est-ce que vous vous attendiez à ce résultat réellement?
- M. Fofingue: Non, pas du tout, je n’y croyais pas. En venant, je me suis dit : on va le faire mais ça va tomber. Ma crainte était que ça tombe toujours. Et puis je n’avais pas non plus une hygiène de vie qui était sensationnelle. Et puis j’ai été très, très surpris. Je ne m’attendais pas à un tel résultat de la greffe de cheveux.
- Traductrice : Qu’a pensé votre entourage de ce résultat ? Pouvez-vous nous expliquer un peu?
- M. Fofingue: Jamais ils auraient imaginé que ça aurait marché à ce point-là. Déjà, ils ne connaissaient pas. Donc pour eux, c’est la chirurgie esthétique, c’est du superflu. Ouais, c’est un sujet tabou, même en France encore. Même si on fait la chirurgie esthétique pour d’autres choses, les cheveux, c’est encore un tabou. Pourtant, Dieu sait que beaucoup de monde voudrait bien le faire. Maintenant, je le sais parce que justement, les gens qui me voient, même mon propre médecin est surpris. Donc voilà quoi, c’est un médecin déjà est surpris du résultat. Il en avait même fait des photos ; je lui ai remis votre carte.
- Traductrice: D’accord, qu’a changé cette greffe de cheveux dans votre vie?
- M. Fofingue: L’envie de sortir, ne plus me cacher sous une casquette, me raser les cheveux, voilà ; c’est ça. Donc c’est vraiment ; ça m’a tout changé, on va dire. Même le contact avec des clients, avec des collègues, ça a complètement changé tout.
- Traductrice: OK. Alors, que conseillerez-vous, monsieur Fofingue, aux patients qui souffrent d’une calvitie semblable à la vôtre ? Vous qui étiez assez dégarni, vous aviez une calvitie assez prononcée ; que voudriez-vous leur dire afin de les encourager ?
- M. Fofingue: De ne pas hésiter, de le faire. Même si ça ne couvre pas la totalité, sachant qu’on a une possibilité de revenir une deuxième fois et de faire le complément, mais jamais, ça ne sera à cent pourcent. Après, ça sera que des artifices de pouvoir remettre les cheveux en arrière et de cacher comme de célèbres personnes qu’on connaît, qui font la même chose.
- Traductrice: Alors, Monsieur Fofingue, étant donné que la zone donneuse est limitée sur le nombre de greffons à prélever, vous savez qu’il s’agit d’un transfert, donc on est limité quelque part pour ne pas abimer la zone donneuse, dans certains cas malheureusement, il n’est pas possible de recouvrir entièrement la calvitie. C’est pourquoi des patients peuvent renoncer ou peuvent baisser les bras, ils se disent : soit on fait tout, sinon rien du tout. Que voudriez-vous leur dire, à ces patients?
- M. Fofingue: Faut pas dire ça, faut pas partir sur ce principe-là, faut continuer à y croire. Et voyez, moi, ça a bien fonctionné, moi qui n’avait plus rien. Maintenant, je reviens pour une deuxième opération. Je ne demande pas que ça soit non plus jusqu’au vertex mais que ça cache une partie de la calvitie qui me reste encore derrière. Voilà, que ça soit amélioré. Je ne demande pas plus. Faut pas ; et c’est pour ça qu’il ne faut pas que les gens, ils se ; ils se braquent en disant : Non, c’est tout ou rien. Non, ce n’est pas possible.
- Traductrice: Voulez-vous ajouter un petit message pour finir?
- M. Fofingue: Si les personnes sont accompagnées, ce qui serait bien, c’est de pouvoir profiter de la vie d’Istanbul et tous les musées, la Sainte Sophe, d’aller sur la place Taksim, aller faire les magasins. Il y a plein de choses à faire à Istanbul ; c’est très, très intéressant ; et découvrir une culture, une nourriture que nous français, on connaît pas suffisamment.
- Traductrice: Monsieur Fofingue a subi sa première séance de greffe de cheveux Istanbul en Turquie il y a deux ans. 3700 greffons ont été implantés.
- Docteur: Effectivement, nous pouvons planifier une deuxième séance. Nous allons nous concentrer sur la zone du vertex.
- Docteur: Nous sommes à la dernière étape : Implantation. Nous avons réussi à prélever 2300 greffons de la zone donneuse afin d’implanter sur le vertex Il nous reste environ vingt minutes pour que l’intervention prenne fin. L’intervention de greffe de cheveux est bientôt finie.